To cry it is to be low... if you cry it is because you have to die.

caractère ;

On croit tous devenir fou. À regarder la même cellule, pendant toute une année. Le soleil qui nous abandonnes à notre propre destin qui nous étais destiné. Cette haine qui nous dévores de l'intérieur, et notre regard qui ne devient que l'ombre de cette fin. Abandonner, serait sûrement la clef du paradis ? Ou peut-être celle de l'Enfer. Pour tous ses actes effectués. S'accrocher à ces barreaux de fers, ne fait qu'avancer les secondes plus vite dans cette cervelle qui n'apprend qu'à moitier. Cette soif, de vouloir sortir envahit l'espace de cette cellule. L'agressivité, te décrirait bien tu aimes faire mal quand on t'énerve. Autant qu'avec parole que geste, tu n'es pas de toutes pitiés. Avoir pitié toi ? Au contraire, tu aimes voir autant suffoqué sous un empoisonnement, que voir les gens chercher leur souffle par cause d'une blessure profondre. Et voir le sang, t'exite tout autant. Mais, tu auras toujours ce petit côté rancunier, à ne pas oublier ses mots dit contre toi. Cette tristesse qui reste en toi, depuis cet enfance douloureuse qui ne cherchera pas à s'enfuir de ta mémoire. De ton regard sombre, qui est relié à ton côté froid en ta personne. Tu ne parles que très peu, tu agis plus que tu ne parles. Savoir, ce que tu prépares à tes prochaines victimes n'est jamais bien clair. Mais, faire souffrir est ton but ultime. Autant mannipulateur avec les jeunes femmes, tu sais tout autant obtenir comme un jeune enfant ce que tu veux. Cependant, très menteur avec les autres de ton environnement, mentir est ton boulot. Tu sais t'en sortir intacte. Tout passe. Rien ne semble suspect, d'habitude avec toi. Il faut dire que si tu sors de cette prison, ce qui est impossible. Si tu sortirais de cette prison '' dans tes rêves '', tu serais très difficile à retracer. Cela prendrait un bon bout de temps. Mais ce trou, ne fait que de te tenir prisonnier. Tu ne sers plus à rien dans ce monde qui doit être détruit, ce monde qui était autrefois entre tes mains. Comme tu disais, ne l'est plus. Ça te dérange, tu es mécontent, tu veux tué pour te venger. Oui, approchez petite proie te dis-tu si souvent quand tu en apperçois une au loin. La haine t'a pris si soudain, on t'a enlevé le bout de la réalitée... encore là... vas-tu la reprendre ? Tu n'en n'ai pas si certain. Mais, discutont sur le sujet de ton visage à deux faces. Une belle façon de parler, que tu apprécies beaucoup si cela pointe sur toi. Tu es mystérieux, ça c'est certain. Tu peux parfois est d'une gentillesse remarquable lors d'une connaissance et devenir d'un point à l'autre, ignoble et agressif envers cette personne. Personne ne doit te déranger lorsque tu veux la paix, tu as toujours fonctionné ainsi. Comme un chef... un leader. Les autres sont déchets/esclaves à ton point de vue. Le reste n'est qu'impossible à dire, on ne sait que tout cela à ton sujet.

physique ;

Valser tes prunelles d'un brun profond, est une activitée que tu aimes moins à présent. Le fait de toujours fixer le même paysage, t'en donne mal au coeur. Ce silence, où tu fais le même trajet en tournant. Âgé de 21 ans, lors du dernier 24 Mars. Tu es bien jeune pour être en prison, c'est dommage n'est-ce pas ? Sinon, tes lèvres rosé, qui autrefois ne restaient pas collées l'une contre l'autre. Tu empires du regard la situation qui se déroule. Ta voix séductrice, n'existe pratiquement plus. Puisque tu ne parles pratiquement pas avec les gens de l'entourage des cellules proches de toi. Mais, encore là tu n'es pas interessé par les autres. Non, tu veux simplement sortir de ce trou qui te tient innofensif à moitier. Tu es de nationalité anglais puisque ton père en était un et tu es de nationalité américain aussi, cause que ta mère en est une. Ta chevelure pratiquement de la même couleur que tes prunelles, d'une couleur châtaine toujours coiffé de la même façon. De ton uniforme que tu détestes tant, par les couleurs trop clair à ton goût. Cache tes abdominaux, si bien dessiné par ses cours de musculation entretenus pendant plusieurs mois à voir une année. Malgré ta peau pâle, parfois bronzé l'été. Ce qui va devenir rare désormais, ce dessine des traits qui indique que tu es bel et bien un homme. Mais parfois lors d'un moment, on peut voir des blessures, ainsi que cicatrice sur ton corps. Souvent par cause d'anciennes batailles. De ton visage charmant, où se cache de belles dents blanche. Ton regard qui exprime beaucoup le mécontentement ou le sérieux, rarement le contentement. Il faut dire que c'est à voir ton regard que tu t'exprimes le plus, en prison. Toi qui est assez grand mesurant environs un mètre quatre-vingt-dix, celà dit que lorsque tu t'enfuis, tu sais autant courir vite qu'éviter. Ne faut-il pas oublier, ton tendre ami qui tient la cellule avec toi pour t'occuper lors de tes ennuis. Canvas, ton berger-australien que tu as eu lors de ton enfance. Et qui à atteint sa cinquième année, lors du dernier quatre août. Un mâle certain, étant un peu le contraire de toi, qui est son maître. Il est gentil, mais le devient moins lorsqu'on fait mal à son protégé. Toi, Shame Pheonix. Oui, tu as eu ce prénom de ta mère à ta naissance. Qui te fait bonne allure. Sinon, il n'y a plus vraiment à dire sur ton physique.

histoire ;

Le silence plongé dans les abysses un instant. Si jeune, la peur t'habrite. Des bruits inquiétants au sous-sol. Des bruits de vitres brisées, tout se passe dans ta tête. T'enfermant dans ta chambre pour te mettre au complet sous les couvertures, pour essayer d'enlever les cris de ta mère. Tu sais très bien pourquoi, même lorsque qu'on a six ans on comprend. Ton père était agressif avec ta mère, souvent lorsqu'elle lui disait '' non ''. Impuissant face à ça, tu te croyais coupable. Les larmes qui coulaient sur tes joues, que de faiblesse... tu voyais dans tes pensées, ton père qui levait la main sur ta mère. Encore là, il t'avait déjà donner une claque la dernière fois. Puisque tu avais refusé d'aller prendre ta douche. C'était sûrement le diable en personne, tu entendais les cris de douleur de ta mère. Mais, ses cris te clouait au lit. C'est alors que tu décidas pour la première fois, d'aller aider ta mère. Croyant que tu serais intacte en sortant du sous-sol. Mais, malheureusement tu te pris un coup sur la tête. Qui automatiquement... à fait en sorte que tu perdes la carte et que tu t'effrondres part-terre.

'' Un jour plus tard ''

« Son état reste stable depuis ce matin. »

Ce fut les premières phrases que tu avais entendus à ton réveil. Un douloureux mal de crâne te pris si soudainement, que tu lachas un soupire négatif. Tu balayais d'un regard visuel la pièce, où étais-tu ? Tu n'en savais rien. Toi, jeune garçon qui avait à peine six ans. Tu te réveillais déjà dans une hôpital, aucune chance. C'était le voisin qui le soir même avait alerté les policiers, malheureusement comme tu aurais pu t'en doûter. Tu n'étais pas sortit intacte, gravement blessé au niveau du cou jusqu'à la tête. Les lumières qui étaient autour de toi, t'aveuglait. Et quelques infirmiers et infirmières faisaient en sorte que tu ne te rendormes pas. Tu n'entendais pas très bien, ta vue était un peu floue. Inquiétant racontes-tu. Incapable de relever ta tête, ta blessure au cou t'en interdissait. D'ailleurs tu avais entendu que ton propre père n'avait pas arrêté lorsque tu t'étais évanouis. Ça doit être l'une de ses seules choses que tu n'oublieras jamais. Tu cherchais à te réveiller, mais tu étais semi-réveillé. Mais, lors de quelques jours à l'hôpital. Une question te tracassait désormais. Et tu aurais vite la réponse, ...
« Ma maman, est où ? »

Ce fut une phrase complète, que tu avais dis sans difficulté cette fois-ci. Tu pouvais maintenant t'assir sans difficulté, malgré cette petite douleur. Toi, petit garçon tu avais fais un petit regard questionneux. Si vite fait, si long tu appris la réponse. Un choc ? Oui, bien plus encore. Cette douleur, t'avait pratiquement anéantis, mais c'était sûrement ce reste de force qui ne t'avait pas permis de ça. Tu ne pouvais échoué dans ta vie. Tu devais montrer cette haine envers ton père. Même si tu connaissais la réponse déjà, comme tu te le disais si bien...
« Nous sommes désolés, ta maman est partie au paradis »

Larmes qui coulent à flot. C'est-ce que tu décris, ta dernière faiblesse et souffrance que tu avais pleuré. Un cri strident se fit entendre dans plusieurs salles. Vouloir arraché la chair de son propre père, te vint à l'idée plusieurs fois. Tu ne pouvais l'excuser, ce n'était qu'impossible. C'est lors de cette soirée d'été. Que tout pris un autre rythme dans ta vie... abandonnant gentillesse et douceur. Pour faire apparaitre autre chose.

'' Six ans plus tard ''

Toi à ta fin d'enfance, bientôt l'adolescence. Quelques problèmes existaient dans cette famille adoptive. Pour toi, elle était énervante et ne servait à rien. Tu aurais pu très bien t'élever tout simplement seul, comme disais-tu souvent. Fallait-il décrire l'agressivité, dans les batailles de l'école. Ou bien, l'impolitesse envers les enseignants. Ce jeune homme que tu étais et dont tu es encore, n'est pas si facile à comprendre. Souvent chez des psychologues, ta belle-mère n'était qu'incapable de t'endurer. Quelques personnes dans ta dite famille, s'en doûtait ou bien le savait. Tu prenais tant d'alcool que de drogues en cachète. Et cela t'amusait, rien de bien amusant pourtant. C'était nuire à ta vie, mais toi tu le disais si bien '' Je m'en fiche. C'est ma vie, je décide ''. Tes parents adoptifs, s'inquiétaient souvent le soir lorsque tu ne rentrais pas à l'heure demandé. Souvent des punitions dont tu devenais agressif pour t'en défaire, étrangement il ne voulait pas te rendre au foyer d'accueil pour te remettre dans une autre famille. Bien sur, tu en faisais des crises dessus en les menaçants de morts. Et tu mettais souvent ça sur le dos de leur fille, qui était devenue '' ta soeur '' suite à l'adoption. Le soir de tes seize ans, tu pris décision de partir te promenner. Avant de croiser le regard d'une vitrine, de bijouterie qui était fermé. Excellente proie te dis-tu. Avant de t'élancer, en regardant si il n'y avait personne. Défonçant la vitre, automatiquement ce bruit à te rendre sourd sortit de nulpart fit donner l'alerte. Volant la section bijoux en or ou valant cher, les cachant dans tes poches. Le visage heureusement caché par la capuche de ta veste. T'évadant de l'endroit, tes poches pleines en entendant les sirènes des polices proche. Juste le temps de briser les caméras de sécuritées. Disparaissant dans un bois, si vite fait. Rentrant par la fenêtre de ta chambre pour cacher, ce tas de millions derrière un meuble, dans un coffre que tu t'avais construit. T'endormant, sourire aux lèvres. Le lendemain, par malheur allant écouté la télévision, une caméra avait restée intacte dans un coin. Filmé, de dos. Heureusement ? Ou pas. Inquiétant soudain. C'est alors que tu entendis la femme prononcée « Sans indice tactique, mais nous essayons avec le peu d'indice qui nous restes d'enregistrer sur la caméra encore intacte, de retrouvé ce voleur. ». Mais pour cette première fois, tu eu la chance de n'être jamais retrouvé, par le manque d'indice. À tes dix-sept ans, tu reçus un chien dont tu nommas Canvas, mais sans succès devenant encore plus agressif. Une dispute démarra dans la cuisine avec ton père adoptif. Et qui fini en blessure, infligé. Mais, tu étais désormais le coupable. Lui, ne faisant que se défendre. Sous le regard de ta belle mère qui téléphonait à l'agence de la police. Prenant fuite, tu te dirigas vers le coin où ta gang se tenait le plus souvent. D'où tu récupéras un couteau et fusil. Tu en finirais une fois pour toute avec ce maudit père, qui décidait trop pour toi. Ce fut une balle au niveau du crâne qui lui mit fin sa vie. Ton regard sans réaction, tes pieds tremblottant sous cette haine qui démarrait. Tu n'accepterais plus jamais qu'on décide pour toi. D'ailleurs ton ancienne petite amie, avait été chassée par ce père qui n'était pas le tient. C'est lorsque tu apperçus le regard de ta soeur au coin de la porte du salon qui reliait à la salle d'où le meurtre avait été commis. Fallait-il voir voir le sang qui se déversait dans la salle. C'est alors que tu pris fuite avec ta soeur et ton chien qui lui te suivait partout et répondait à tes ordes, qui elle te blâmait qu'elle te dénoncerait. Puis la descendant dans une forêt non loin, par vingt à trente coup de couteaux, mais il ne fallait pas oublié qu'avant de faire ça tu l'avais violé. Cachant le corps sous un tas de pierres. Pour vivre, tu avais accepté de volés dans plusieurs maisons ou magasins qui pourrait te tenir en vie. Oui comme un vagabond qui pourtant, est toujours bien habillé et semble être étrangement riche. Mais qui ne se montre jamais vraiment le jour. Mais si vite arrivé aillant été filmé lors d'un vol. Tu avais été si vite retraçé. Partir à la course contre une dizaine de policiers qui te poursuivait. Tu fus soudain encerclé. C'est de là commença ta première visite en prison, pour avoir commis plusieurs vols, meurtres, violes. Malheureusement en te faisant passé un test, on avait vite su que tu avais été le meurtrier de ses deux anciens crimes. Pour les vols, c'était du jour au lendemain alors les soupçons était sur toi. Et tu avais la même veste que sur les anciennes vidéo enregistrer sur les caméras. Dans cette prison, tu savais aussi bien te faire comprendre facilement. Suite à deux autres meurtres de d'autres prisonnier qui partageait la même cellule. Il ne fallait jamais t'embêter. Souvent on te mettait dans la cellule d'isolement. Quelques prisons, avaient décidés de te mettre seul. Suite à plusieurs de dizaines tentatives. Qui finissait souvent en empoisonnement suite à ça. Tu savais toi même fabriquer des poisons. Ne parlons pas des trois anciens violes de deux femmes qui partageaient la même cellule avec toi. Tu ne te gênais pas de blessés ou de mannipuler les autres... d'ailleurs par cette cause de viole, l'une d'elle était tombée enceinte. Tu avais été mécontent après avoir appris ça.


Trop de problèmes d'agréssivité à haut niveau avait fait en sorte de t'envoyer là-bas. Tu étais devenu dangereux pour les gens. Quelques tentations de meurtres envers d'autres avait échoué, mais de graves blessures perlaient sur leurs peaux désormais. Au moins, Canvas ton chien était avec toi. Ta dernière phrase avant d'entrée là-bas fut...

« Lorsque je vais mourir, je viendrais vous hantez pour vous faires souffrir... bande de pions. »

Vous ;